En optant pour des espaces de travail réduits, les employeurs cherchent notamment à réduire les coûts immobiliers ainsi qu’à accroître la collaboration, la créativité et la communication entre les employés. En contrepartie, cette communication développée peut avoir d’autres effets plus néfastes sur ses occupants, la principale nuisance relevée étant le bruit engendré par cette nouvelle configuration de l’environnement de travail.
Effectivement, d’après plusieurs études, les employés auraient de la difficulté à se concentrer à cause du bruit ambiant, des distractions, des odeurs et du désordre. Il leur faut en conséquence fournir plus d’effort pour maintenir leur productivité au niveau attendu. Les codes et les règles de cohabitation sont donc nécessaires et primordiaux dans le processus d’adaptation à cette tendance pour que celle-ci génère une plus grande productivité et ne se transforme pas en désavantage organisationnel. Voilà donc nos conseils…
Tous les employés de l’organisation doivent premièrement prendre conscience des défis de l’aire ouverte. Certaines règles s’établiront de façon naturelle tandis que d’autres mériteront une plus grande réflexion. Le bruit ambiant peut facilement être réduit en appliquant ces règles de vie :
En aire ouverte, l’espace de travail de chacun est visible de tous. Un respect de la limite raisonnable entre personnalisation de son espace et conformité visuelle est donc essentiel.
Accumuler les irritants peut nuire à votre productivité et engendrer des conséquences qui nuiront aussi à votre entourage professionnel.